Ho ricevuto stamane la triste notizia della scomparsa, all’età di 96 anni, della coraggiosissima revisionista tedesca Ursula Haverbeck, di cui più volte ci siamo occupati su questo blog. Ursula è morta ieri, 20 novembre, serenamente e circondata dall’affetto dei suoi cari. La morte ha interrotto l’ennesimo procedimento persecutorio nei suoi confronti, intentato dal tribunale di Amburgo: la cosiddetta “giustizia” tedesca non ha mai avuto il minimo rispetto per l’età di Ursula Haverbeck. I revisionisti francesi hanno ricevuto la notizia della dipartita da Lady Michèle Renouf. Pubblico a seguire il comunicato in lingua francese:

“Elle venait de fêter ses 96 ans le 8 novembre, Ursula Haverbeck est partie hier après-midi, le 20 novembre 2024. Lady Michèle Renouf a reçu hier un appel téléphonique de son avocat en Allemagne, celui qui l’avait défendue suite à une prise de parole au moment d’une commémoration du bombardement de Dresden, Wolfram Nahrath, et Lady Michèle a tenu à annoncer la nouvelle par mail à ses correspondants francophones, dans la soirée du 20 novembre. Naturellement, Wolfram Nahrath était aussi l’avocat d’Ursula Haverbeck, dans son appel, il nous livre l’essentiel: Ursula, la Grande Dame, est partie paisiblement, dans son propre lit, entourée de ses proches et de ses amis. Cela n’allait pas de soi pour cette pasionaria du révisionnisme au service de la réhabilitation de son pays et de son peuple, puisqu’au même moment, le tribunal de Hambourg était encore en train de délibérer à son sujet pour éventuellement la renvoyer en prison. C’est son avocat, toujours aussi courageux et tenace, qui avait obtenu sa liberté à domicile dans l’attente d’un jugement dans un énième épisode de sa lutte révisionniste. Toujours entourée de fidèles partisans, Ursula n’a jamais été seule ou sans surveillance, et elle restera admirée et aimée par des millions de personnes dans le monde pour son courage et sa fidélité à l’Allemagne éternelle.  Le 14 août 2018, deux mois avant son propre décès, le professeur Faurisson lui rendait hommage, rappelant que celle-ci était grand-mère en plus de tout le reste”.

Francis Goumain