Un accident cardiaque suivi, en urgence, d’une hospitalisation de 48h, m’a
rappelé qu’à 82 ans on ne peut continuer à faire du surmenage son hygiène de
vie. Je vais avoir à ralentir mes activités. Et plus question de tennis ! Je
me vois condamné à prendre de plus en plus de retard dans la rédaction de
près de dix textes. Je demande de la patience à ceux qui comptaient les
recevoir d’ici à la fin d’octobre. Le hic est que j’aurais du travail pour
plusieurs secrétaires à domicile et que je n’ai pas les moyens de m’en payer
n’en fût-ce qu’une.

Je dois suivre un traitement contraignant pour éviter toute récidive.

Je déplore d’autant plus cet accident et le risque d’un autre accident du
même genre (ou plus grave, m’a-t-on prévenu) que, sur le front du
révisionnisme, nous allons vivre d’intéressantes expériences d’abord en
septembre, puis à la fin de décembre ou en janvier. Il faudra alors être sur
le pont et en bonne forme !
RF